Communiqué de Presse
Le drame Nathalie Gettliffe parasité par les fausses informations des renseignements généraux de Privas
Depuis plusieurs mois, les autorités préfectorales et ministérielles, qui s'intéressent au drame vécu par Nathalie Gettliffe et ses enfants, aujourd'hui maltraités au Canada par la secte l'Eglise Internationale du Christ, sont parasitées par des notes émanant des renseignements généraux de l'Ardèche. Ces notes contiennent beaucoup de fausses informations, depuis le 10 avril, dans le seul but de nuire à Nathalie Gettliffe et à ses enfants.
Pourquoi ? Début 2004, le capitaine des renseignements généraux de Privas, Frédéric Marie, a sollicité, par écrit et par mail, auprès de Nathalie Gettliffe, « des relations amoureuses, en contre -partie de l'aide qu'il pouvait obtenir dans ce dossier et de l'influence qu'il pouvait avoir auprès du procureur de la république de Privas, afin que les décisions de justice ordonnant le renvoi des enfants au Canada ne soient pas exécutées... ». Les nombreux papiers en notre possession attestent des propositions malhonnêtes du capitaine Frédéric Marie.
Femme d'honneur, Nathalie Gettliffe a refusé cet odieux chantage, indigne de l'éthique que doit s'imposer un officier de police. Le même Frédéric Marie a été exclu du bureau de l'association « S'unir pour protéger Maximilien et Joséphine », présidée par le colonel Jean-Louis Baert (port 06 60 45 47 05) le 11 septembre 2004, en raison de son comportement.
Il serait urgent que la direction centrale des renseignements généraux et son ministre de tutelle Nicolas Sarkozy fassent le ménage au sein des RG de l'Ardèche, le chef de service des RG, M. Catris, ayant été mis au courant, en son temps, des dérives de son adjoint par plusieurs élus Ardéchois.
